L'écriture...

Allons, allons. Loin de moi l'idée de dénaturer l'intérêt principal de ce forum. Mais j'ose tout de même créer un petit sujet spécialement consacré à l'écriture. Oui, l'écriture, ce qui vide l'esprit à travers une plume, un bic de nos jours et même un clavier pour les plus geek d'entre nous ^^' (même si je reconnais que geek et écriture nous donnent une bien belle oxymore).

Ceci étant, je veux qu'on parle des inspirations de chacun. Qui écrit par ici? Chacun a sa Muse, sauf qu'elle se montre différemment... à vous de tout me dire ^^'.

Hum hum on ne peux pas dire que j'écris... J'écrivais de petits poèmes quand j'étais plus jeune et amoureuse xD souvent déprimant mais sans aucun intérêt artistiquement.Maintenant je suis en train d'écrire une histoire un peu plus poussé mais ça n'avance pas très vite malgré Animaya qui veut que je continue xD. Rien de très concluant en gros ^^

Toujours plein d'idée en tête, mais jamais le talent de l'écrivain. Je me consacre plus au déssins. Je pense m'initier. Mais sans grande motivation.

Il faut pourtant :13: .
L'écriture, j'vous assure que ça allège l'esprit... Et avec une bonne musique en tête, tu écris un roman .

Pas de possibilité de voir des extraits Skip'?

Quand j'aurais recopier sur pc pourquoi pas mais je te préviens pour l'instant j'ai juste 5 pages et encore c'est un petit cahier XD *honte honte*

Moi j'ai commencé sur du PQ... non je plaisante, mais c'était pas loin xD.

Et bien je te montrerai ça dès que mes deux illus seront finis. Enfin si j'ose xD

Je sens que tu oseras...

Je peux toujours te proposer la première version du début (que j'ai refait trois fois xD) Mais elle a encore changé car je l'avait perdu entre temps ^^
Et personnellement je ne l'aime pas du tout mais Animaya si xD faut dire qu'elle aime tout ce que je fait même ce qui est vraiment nul elle est bizarre parfois *BAFF*
Cela pourrait toujours te donner un avis sur mon misérable talent d'écrivain xD

C'est ce qu'on appelle la compassion aussi xD.
Eh bien fait voir, si je sais que ça a changé, ça changera ma critique (ou pas). Enfi, ça ne te coute rien en tout cas...

C'est niais. Mal écrit . Mais bon fais ce qu'on peut xD. J'ai changé de point de vue de narration dans le 3ème essai d'ailleurs.

Amuse-toi bien avec cette horreur xD



Un rayon de soleil qui effleure son visage, une délicate odeur de rosée qui l'entoure et le voilà qui, doucement, quitte le doux pays des rêves. Il ouvrit doucement les yeux suivi d'un long bâillement et il retourna sur terre avec une sensation de bien être qui persista. Jusqu'au moment où il se rappela ce qui l'avait amené jusqu'ici, dans son refuge, au beau milieu de la forêt. Le souvenir de la dispute avec Azar lui fit faire une grimace, une longue et interminable dispute qui revient, sans arrêt. Elle ne part de rien pourtant un mot, une expression ou même un silence et voilà qu'il pose la question qu'il ne faut pas. La seule et unique question tabou. Mais voilà Wylk est d'un tempérament curieux et obstiné, il désire tout savoir et surtout son passé, mais il se cache bien de le montrer.

Après ce petit moment d'égarement Wylk réalisa qu'il était plus de midi et qu'il était temps de rentrer. Il s'habilla donc, attrapa son carquois qu'il remit sur son dos ainsi que son arc et remis son épée dans son fourreau. Il redescendit ensuite sur la terre ferme avant de siffler et se mis en marche doucement. Quelques minutes plus tard un aigle royal à tête blanche passa au-dessus de lui en le frôlant avant de faire demi-tour et de venir se poser sur son épaule.

- « Bien chassé Hyke? »

Pour toute réponse l'aigle répondit par un sifflement qui fit sourire le jeune garçon.

Au bout d'une vingtaine de minutes, Wylk atteignit la lisière de la forêt et admira un instant le paysage qui s'offrait à lui. Il le connaissait par cœur, le moindre chemin, la moindre grotte, tout. Son univers. Jamais il ne se souvint n'avoir quitté ce magnifique endroit qu'est le plateau d'Ylaïnne. Un immense plateau, avec un lac de 2 km de long en son centre, entouré de montagnes. Complètement coupé du monde extérieur. En totale autarcie.
La seule maison, intruse dans cet environnement complètement naturel, est celle d'Azar. Le reste des habitants de ce plateau n'étant que des animaux sauvages.

En arrivant à la maison du bord du lac Wylk remarqua qu'un cheval était en train de s'abreuvoir dans le lac. Il ne l'avait ni aperçu ni entendu avant. Il s'en approcha doucement en examinant l'animal sous toutes ses coutures. Il l'observa un long moment avec un regard suspicieux pour finalement allez le toucher du bout des doigts. Lorsque celui-ci cessa de boire et releva la tête pour pousser un léger hennissement de joie, Wylk retira vivement sa main dans un sursaut avant de commencer à caresser l'encolure du cheval avec plus d'assurance.

- « Magnifique..., se contenta-t-il de dire avec un sourire émerveillé, tout simplement magnifique... »

Il admira encore son nouvel ami pendant un cours instant avant de réaliser ce que cela voulait dire. Il s'approcha doucement de la porte d'entrée s'arrêtant pour écouter la vive conversation qui se déroulait à l'intérieur et ne put en entendre que la fin. Il entendit un homme se lever et se diriger vers la porte. Il eut juste le temps de faire un pas en arrière pour éviter celle-ci et il se retrouva nez à nez avec l'inconnu qui fut surpris de le trouver là.

- « Bonjour Wylk, content de te revoir. », lui dit-il avec un sourire.

Wylk abasourdie par cette rencontre ne put répondre. Puis le regard du jeune garçon croisa celui de son mentor, chargés de nombreux reproches.

- « Entre et assied-toi », ordonna Azar sur un ton sec.
Il se retourna pour voir une dernière fois l'inconnu mais il avait déjà disparu. Etonné, il se contenta d'entrer et d'obéir.

-« Je suis désolé pour cette...

- Ce n'est pas ce qui m'importe pour le moment, s'empressa de dire le vieil homme coupant de se fait son apprenti. Nous devons nous occupé de choses bien plus importantes. Demain, dès l'aube, nous partirons d'ici pour nous rendre dans la capitale. Mais ne te réjouis pas trop vite!, ajouta-t-il avec précipitation voyant la mine joyeuse de Wylk. Ce n'est pas pour une visite touristique. Nous serons logés au château, tu devras y rester et ne te montrer sous aucun prétexte à l'extérieur. C'est bien compris?

- Oui j'ai compris je devrais faire comme d'habitude me cacher et ignorer le monde extérieur, sans pouvoir découvrir quoi que ce soit, répondit-il avec agacement en levant les yeux au ciel. J'ai toujours fait ça de toute manière pour une fois que cela pourrait devenir intéressant pour moi on m'interdit encore de faire le moindre geste!, » continua-t-il cette fois-ci avec une pointe de colère dans la voix.

Après ces dernières paroles il quitta la pièce principale pour se diriger vers le cagibi qui lui servait de chambre dans cette minuscule demeure. Il claqua la porte avant de se laisser tomber sur sa paillasse le regard fixés sur le plafond s'imaginant déjà le monde où il vit mais que, pourtant il ne connait guère.

Il entendit un hennissement qui le sortit de sa rêverie. L'inconnue n'avait pas pris sa monture. Il l'avait laissé là, seul devant le lac. Il voulut sortir de sa chambre pour aller le voir, mais il voulait absolument éviter le vieillard qui se trouvait dans la pièce à côtés, et aucune autre sortit ne s'offrait à lui à part une petite ouverture qui était la seule source de lumière de ce placard. Il y renonça donc et resta toute la journée dans sa chambre à imaginer ce monde qu'il voulait tant connaître et à dessiner cette chose étrange qui avait hanté son rêve.

A force de rêver il finit par s’endormir. Encore une fois, il vit ce monstre qui le terrifiait tant. Il avait fait pourtant énormément de recherche sur lui, s’infiltrant dans la bibliothèque personnelle d’Azar pour y consulter ses ouvrages interdits. Mais aucun d’eux ne parlait d’une chose aussi surprenante, aucune description de correspondait à ce qu’il voyait depuis des mois déjà. Il avait finis par le mettre sur le compte de son imagination. Mais un doute persistait en lui sans qu’il ne put dire pourquoi et d’où lui venait cette intuition.

Il se réveilla très tôt, il faisait encore nuit. Il n’alluma pas sa bougie pour ne pas gêner Hyke qui dormait encore, sur son perchoir improviser par une petite branche, bloquée sous une pile de livre. Malgré l’obscurité il parvînt sans problèmes à rassembler le peu d’affaire qu’il possédait et auxquelles il tenait énormément. Un ouvrage rempli de croquis qu’il avait lui-même réalisé, sa plume et son encrier, et il finis par vérifier qu’il portait bien son bracelet de verre et d’argent ainsi que son médaillon qu’il ne quittait jamais. Tout était près pour son départ. Il décida d’aller faire un tour dans la bibliothèque pour consulter encore une fois les ouvrages qu’il préférait mais quand il sortit de sa chambre il tomba sur Azar qui l’attendait là. Au vu de ses cernes sous les yeux il ne devait pas avoir fermé l’œil de la nuit.

-« Si tu est prêt nous pouvons partir dès maintenant. Plus tôt nous serons parti plus tôt nous arriverons à Waldyn », dit-il dans un soupir.

Wylk se contenta d’acquiescer. Il cru déceler une certaine anxiété dans sa voix, mais il ne fit comme s’il n’avait rien entendu. Il chercha son sac et réveilla Hyke, puis ils sortirent tous de la maison. La fraîcheur de la nuit finit de réveiller Wylk qui se sentit fin près à quitter le plateau. Azar monta sur l’étalon avec une facilité qui étonna Wylk, mais il pensa que, lui, avait sûrement dû en voir énormément et peut-être qu’il montait très bien dans sa jeunesse. Il envia alors le vieillard.

Ils se mirent enfin en route après qu’ils eurent accroché correctement leurs affaires à la selle de la monture. Ils avancèrent à un rythme soutenu pendant presque deux heures avant d’arriver au sommet de la montagne Nord. Le jeune garçon s’arrêta et observa émerveillé. Des kilomètres de champs et de petit village dispersés par ci par la. A l’horizon le soleil se montrait déjà, éclairant cette charmante scène campagnarde. Lorsqu’il fut revenu à lui il rattrapa Azar qui n’avait pas pris la peine de l’attendre. Il se sentit soudain idiot, extrêmement idiot. Enormément de questions lui venait. Des questions minables qui lui semblait totalement ridicule. Pourtant il ne connaissait pas les réponses.

Il risqua timidement :
-« Le royaume s’arrête là-bas, où le soleil se lève c’est ça ?
-Bien sur que non ! Le royaume est très grand. Ici ce n’est qu’une minuscule partie des terres de culture, répondit le maître ne pouvant s’empêcher de rire face à la question de son disciple.
-Ah, murmura Wylk en rougissant. Et Waldyn ? Est-ce loin d’ici ?
- Nous devrons y arriver dans la nuit si nous continuons à cette allure.
- Je suis impatient », dit-il ravit.

A ce moment-là Azar lui jeta une cape dans les bras.
-« Met ça et évite de te faire remarquer quand nous rencontrerons du monde. »

Interloqué il obéit, enfila la cape et mit la capuche. Il ne posa aucune question. Il se doutait depuis longtemps que si on l’isolait, dans un endroit reculé ou jamais personne ne va, ce n’était pas pour rien. On le cachait, il le savait. Par contre la raison lui était inconnue.
Ils parcoururent de nombreux villages et traversèrent un fleuve, ainsi qu’ils gravirent plusieurs montagnes tout au long de la journée. Wylk se contentait de regarder discrètement baissant la tête pour que personne ne puissent le voir mais la population s’arrêtait dès qu’ils voyaient ces deux énergumènes. Il est vrai qu’un grand vieillard avec une longue barbe blanche portant une robe bleu et argenté sur un cheval qui d’après ses harnachements devait appartenir à la cours, suivit par une grande personne dont on ne distinguait aucun trait sous cette longue cape noir et qui portait un aigle sur son épaule on en voyait pas tous les jours. Certains, effrayé rentraient chez eux. On connaissait l’existence des sorciers mais peu d’entre eux s’affichaient ainsi. Pourtant on allait les voir quand on avait besoin de soin ou pour demander un peu de pluie lors des sécheresses mais une méfiance et une crainte restait dans les esprits.
Ils ne passèrent pas inaperçue durant le voyage, mais heureusement pour eux, il faisait nuit lorsqu’ils arrivèrent dans la capitale. A part quelques ivrognes personnes ne les vus.

Pendant qu’ils se rapprochèrent du château Wylk contempla cette immense forteresse aussi blanche que la neige. La lumière de la lune la faisait briller, elle semblait étinceler, rayonner. Elle lui paraissait pure et inattaquable, les remparts étaient tellement haute, infranchissable, les tours lui semblait monter jusqu’aux étoiles. Il allait franchir le pont-levis lorsqu’on lui barra le passage. C’était deux immenses gardes qui surveillaient l’entrée du pont. Azar leur tendit une lettre et ils s’empressèrent de les laissé passer en s’excusant longuement. Une fois à l’intérieur de la cours un palefrenier vint s’occuper de la monture et Wylk s’empressa de récupérer ses affaires et celle de son maître. Ils rentrèrent enfin dans le hall du château, une immense pièce, orné d’énormément de tableaux représentant tous les souverains ainsi que leurs familles, des tapis bleu recouvraient les escaliers et de nombreux chandeliers d’argent était disposé dans toute la pièce.

-« Suis cet homme, il te montrera ta chambre emmène Hyke avec toi ainsi que tes affaires. Essaye de dormir tout de suite, une longue journée t’attend demain. Bonne nuit Wylk, moi j’ai encore quelques affaires à régler avant d’aller me coucher. »

Wylk répondit au sourire de Azar et suivit son guide, trop fatigué pour protester. Il avait marché toute la journée au côtés de l’étalon et tout ce qu’il attendait maintenant c’était un repos bien mérité. Ils gravirent de longs escaliers en colimaçon, traversèrent de nombreuses passerelles avant d’arriver enfin à sa chambre. L’homme lui ouvrit il entra et sans même se déshabiller il se laissa tomber sur son lit et s’endormit aussitôt, tandis qu’Hyke allait se percher sur une poutre au plafond.

Le lendemain Wylk se réveilla à l’aube. Quelqu’un avait déposé sur son lit des vêtements d’apparat. Il retira ses vieux habits défraîchis et enfila ceux-là. Son fidèle compagnon vînt se poser sur son épaule comme à son habitude avant que le jeune garçon ne passe la porte.
Une jolie jeune fille postée devant la porte lui fit la révérence. Il fut surpris de la trouver là et répondit à son geste.

-« Veuillez me suivre s’il vous plait, Je vais vous conduire jusqu’à mon père. Il vous attend avec votre petit-déjeuner », se contenta-t-elle de dire.

Après plusieurs instants Wylk se décida à lui parler malgré le faite qu’elle l’impressionnait par sa beauté et sa prestance alors qu’elle paraissait plus jeune que lui :

-« Etes-vous la princesse ?
- En effet, mais appelez moi Muza s’il vous plaît.
- Vous pouvez me tutoyer vous savez je ne mérite pas autant de respect et puis je ne suis même pas adulte, dit-il en rougissant, Muza… »

Ils arrivèrent devant une immense porte de bois sculpté. Un homme posté devant rentra dans la salle puis ressortit aussitôt avant de leur laisser le passage. Il devait avoir annoncer leur venu.

-« Bonjour père, je vous ai amené notre visiteur.
- Merci Muza, peux-tu nous laisser un moment maintenant ? Ta mère t’attend en haut », répondu le souverain sans arrêter de fixer Wylk.

Il paraissait ému. Il fit signe à Wylk de s’asseoir en face de lui et il s’exécuta après avoir fait la révérence d’usage.
Il n’osa pas toucher au somptueux repas qui était devant lui que le monarque ne l’y invite après plusieurs minutes de silence.

-« Azar t’as expliquer que tu allais passer un certains temps ici. Jusqu’à ton anniversaire en réalité. Le fait est que nous ne pouvons nous permettre que tu sois vu en public pour une raison que nous tenteront de t’expliquer bientôt. Je me doute que tu dois avoir envie de découvrir la ville dans tout ses recoins, dit-il en souriant. Mais je t’assure que le château contient pas mal de surprise lui aussi. Je te demande donc de ne pas quitter l’enceinte de notre demeure, et ce sous aucun prétexte. »

Wylk se contenta d’acquiescer timidement sans oser regarder l’imposant monarque dans les yeux, qui lui ne put s’empêcher de sourire tendrement.

-« Tu devrais descendre dans la cours, une surprise t’y attend »

Le jeune garçon releva la tête avec étonnement. Il se leva de table en emportant une dernière tranche de pain et se précipita vers la porte qu’il franchit avant de revenir et de faire une révérence.

-« N’oublie pas de nous rejoindre ici pour le déjeuner », s’exclama le roi en ricanant avant que Wylk n’est passé la porte.

Il dévala les escaliers et le valet à la porte eut juste le temps de lui ouvrir. Une fois dehors il s’arrêta et admira ce qu’il avait devant les yeux. Il entreprit de descendre les dernières marches mais lentement cette fois. Il s’approcha et interrogea du regard le palefrenier qui se trouvait là et qui lui tendit les reines. Le cheval qu’il avait devant les yeux était encore plus majestueux que celui de la veille. Il devait faire parti des meilleurs jeunes étalons de toute l’écurie. Tout était parfait en lui, de sa tête magnifique et expressive, en passant par son encolure musclé jusqu’à son corps d’athlète.

-« Il est beau n’est-ce pas ? Mon père vous l’offre prenez-en grand soin car il compte beaucoup pour lui il s’en est énormément occupé d’ailleurs cela m’étonne qu’il le donne à quelqu’un que l’on a jamais vu, dit Muza qui l’attendait dans un coin tout en souriant, sans vouloirs vous offensez bien sur ! ,s’empressa-t-elle de rajouter.

(Je lirai ça demain si ça ne te dérange pas...)

Trop pas xD. T'es même pas obligé xD

Moi j'ai lus, et mêem si el debut fait un epeu cliché c'est bien ecrit et ça coule tout seul, je t'encourage a continuer .

Citation :

Animaya si xD faut dire qu'elle aime tout ce que je fait même ce qui est vraiment nul elle est bizarre parfois *BAFF*

Ah ba merci XD
Genre on a plus le droit d'aimer sans paraitre bizarre >_<
C'est pas ma faute si tu écris une histoire fort sympathique, quand cesseras-tu enfin de te dévaloriser ?

Bon et puisque le topic est lancé
Je vais en profiter pour soulever ma cape *mouhaha ---> se prend une baffe en pleine poire* et vous réveler mon grand secret *mdr c'est marrant d'employer les grands mots de temps en temps*

L'écriture est une autre grande passion qui se bat en duel avec le dessin TT
A vrai dire je ne saurais dire laquelle je préfère, ni dans laquelle je suis la plus douée (enfin disons plutôt la moins médiocre XD)

Ecrire c'est vraiment génial, ça a un pouvoir fou ! Du coup, j'ai fini mon premier boukin il y a un mois et je continue encore et toujours parce que c'est super fun ! (quand j'emploie ce genre d'expression concon on croirait entendre une candidate de Secret story TT)

Bon après, si j'aime l'écriture c'est surtout parce que je partage cette passion avec d'autres, à commencer par Skip, puis deux autres amies qui ont de grandes ambitions (j'espère qu'elles les réaliseront). L'une a même déjà publié un premier tome (ok sur thebookedition mais c'est déjà pas mal)
Je les soutiens à fond, ainsi que tout ceux qui aiment écrire ^^

D'ailleurs, j'irais bientôt lire ton oeuvre, Paco (bientôt... car là c'est difficile, il faut avant tout lire les confessions de st augustin pour la rentrée TT quelle injustice...)

Et merde j'ai trop parler mais rien à foutre on est dans Flood XD *BAFFE*

Yop!
Quelques petites fautes d'ortho à corriger. Quelques petites maladresses aussi... Et peut être une touche de "déjà vu". Disons que ce peut paraître banal de voir le garçon qui semble l'élu mais qui est caché aux yeux de tous dans un chateau royale avec un bon roi :D.
Je précise que toutes ces remarques sont à but constructives, je ne veux pas passer pour le dragon de service...
Si tu veux, sur un autre forum, il y a même des équipes de correcteurs qui t'arrangent ton texte :23: .

Enfin. Sinon, l'histoire est en effet assez coulante. J'espère que tu mystifieras un peu la suite, histoire qu'on ne s'y attende pas trop. Un petit peu de rebondissements... et de l'action aussi :14: . Toussa quoi...

Sinon, je t'encourage à poursuivre sur cette voie =P.

:17: C'est pour ça que la troisième version est mieux ya plus de suspense XD pis déjà il ets pas caché dans un château xD Mais avec Azar son maître sinon ils auraient pas eut besoin de faire tout le voyage jusqu'au château :17:
On verra surtout comment continue la troisième parti lol

Bah vivement la troisième version alors :D.

Voici ma petite histoire, j'adore écrire c'est une vrai passion...

« Si un tombe, il se sent seul, si deux tombent, alors s’applique la règle des jamais deux sans trois. »

Histoire de ma chair dont sortent les boyaux, cette balle m’a vraiment transpercer, m’ouvrant une plaie noire suintante en dessous du nombril, la blessure n’est pas très grande, pourtant un intestin semble poindre son nez en dehors de mon corps. Et le plus comique dans tout cela c’est que je ne souffre pas.
L'agent Danielle est gentille, elle se stresse, se bouge et semble paniquée, des sueurs perles le long de son beau visage sali par la crasse et la poussière. Elle veut me sauver la vie mais je sais que c'est déjà fini. Pas besoin d'être médecin pour savoir que lorsque l'on tient ses trippes dans les mains sur un champ de bataille c'est que c'est la fin. Je n'ai pas voulu cette guerre, je ne sais même plus ce que l'on combat. Des créatures ? Des bêtes ? … Je crois… J'ai froid, je tremble…
James m'apporte une couverture et me frotte pour me réchauffer. C'est un bon gars, il a toujours pris soin de moi. Pendant ce temps Danielle repousse mes intestins à l'intérieur de mon être. Hurlant, Danielle exprime sa frustration : " il y a quelques choses qui bloque." Ma tête tourne, mon frère James cris :" Réveille toi, tient le coup John, je t'aime petit frère par pas reste avec moi, on se l'était promis." Soudain d’une douleur, naissent deux cris, mais aucun des deux n'est le miens. L'un est celui d'une bête, d’un animal, l'autre est celui de Danielle. Je relève ma tête dans un dernier effort et vois Danielle le bras en sang, elle n'a plus de main et cris de toutes ces forces mêlant peurs et douleurs en un râle. De son moignon des gésères de sang coulent amenant très rapidement la teinte de la bous à prendre une couleur rougeâtre. Mon frère reste bloqué comme paralysé devant cette scène. Nous ne savons pas se qui l’a attaqué ou se qui l’a blessé, rien à l’horizon, mon frère tourne en rond. Soudain après un spasme d’agonie Danielle s’écroule dans sa mare de sang la tête la première, des bulles de sang sortent de la mare signe qu’elle respire encore. Mon frère s’approche d’elle pour la sortir de la mare, il l’enlace pour pouvoir mieux la soulever.
Brusquement, je sens comme un mouvement dans ma chair, puis un grognement. Mon frère me regarde et reste transit de peur. Non, ce n’est pas moi qu’il regarde, c’est mon ventre. Ma tête semble tourner de plus en plus vite, je sens que je commence à sombrer voici les ténèbres qui s’approchent. Combien de temps vais-je encore pouvoir tenir ? Je laisse tomber ma tête en avant et voit une créature sortir de ma chair, elle doit bien faire une dizaine de centimètre et possède de longs et de nombreux crocs. Elle est entachée de sang, de mon sang, de …MON SANG !!! Elle était en moi, se n’était pas une balle mais cette bête qui était en train de sortir de moi. Mon dieu, j’ai apporté la mort à mes proches. Alors que je sombre dans le néant, je vois mon frère se faire dévorer par cette créature d’une vivacité sans égal. Il n’a aucune chance, la voilà qui le chope à la gorge. Encore un dernier râle et c’est ff…

Des fautes grammaticales alourdissent un peu le texte.
Bonne idée, bien que remix d'Alien.
On aimerait (moi, en tout cas), un peu plus d'éléments informatifs : jusqu'à la fin, j'ai pensé (pourquoi donc ?) à la première guerre mondiale, dans les tranchées.
Et puis, juste comme ça, mais normalement, les blessures les plus douloureuses sont celles au ventre. Et la douleur liée aux intestins et autres boyaux est provoquée par un étirement (comme se faire sortir du bide, par exemple). Donc, à priori, ton blessé devrait souffrir le martyre. Enfin bon, à l'article de la mort, avec le choc en plus, pas de certitudes absolues non plus...

Pour les fautes il me faut faire encore de lourd effort mais j'y arriverai...

Pour les blessures au ventre, dès le début il vit ces dernières minutes il ne tiendra pas.
Il est au bord de tomber dans les pommes et ne s'en que le froid, et sa vue se troubler.
C'est pourquoi il ne sent pas la créature sortir du corps (au niveau de la douleur).
En tout cas c'est ainsi que je l'ai pensé...
A la fin la douleur n'est plus vraiment ressenti me semble t'il?

Je me suis imaginé deux types de contextes la guerre mondiale ou deuxième cas une guerre sur une autre planète avec des hommes ayant une technologie moins développée que la n'autre combattant des Aliens.

Je suis resté silencieux volontairement sur le contexte afin de laisser les lecteurs s'imaginer son contexte. C'est pourquoi ce petit texte est écrit de la même façon qu'une nouvelle.

Ma foi, c'est gore et apocalyptique... J'espère que tu nous pondra d'autres textes... Peut etre dans un registre différent.

Dommage pour les fautes, je trouve aussi, mais bon, sans ça, le tout est pas mal.

J'aime bien ce genre d'histoire courtes, et la tienne me plait beaucoup.
J'avais déniché un livre une fois, avec que des mini histoires gores comme ça, ou à la fin on se dit "Ah mais... Mais... C'est moche. Oo".
Une autre, une autre ! o/

Qui sait bientôt remettrais je la main à la pâte, car pour l'instant je n'ai pas de nouvel aussi sombre à te présenter.

Un petit écris très différent...


La mouche et l’araignée :

Le plus petit des démons
Est une mouche
Cela parais louche

Mais oui
C’est une mouche
Il arrive dans la nuit
Et possède votre esprit

Une minute de désillusion
Puis plus de réaction
Plus de sensation

Votre corps est possédé
Malmener torturer
Vous l’entendez
Sifflotant dans votre esprit

De sombre pensée
Des verbes de folies
Vous êtes finis

Vous allez malmener
Tuer et éviscérer
Et violer

Vous êtes dominé
Pour toujours
Et à jamais

Plus d’amour, plus de discours
Seul prisonnier dans votre corps
C’est votre sort
Bien pire que la mort

Une prison de tristesse
Donc la seul sorti
Et qu’il quitte votre esprit

Mais il ne quitte votre esprit
Que lorsque c’est fini
Qu’il a assez rit

Après que vous ayez tuer
Tous ceux que vous aimez
Et que vous chérissiez.

Il vous lâche, il vous tue
Car vous ne lui plaisait plus.
Puis il par à la recherche
D’une victime plus fraîche

Car il n’a aucune peur
Car il est petit et réussi
A esquiver toutes autorités

Il est discret,
Il ne se fait jamais attraper
Quant il se sent en danger
Il fuit le posséder

Qui finira lynché
Ou même brûlé
Pour tout ses méfaits
Dont il fait l’objet

Alors qu’il n’a rien fait
C’est le démon mouche
C’est lui le diable farouche

Qui m’a possédé
A cause de lui j’ai tué
Mais je n’ai rien fait
Je ne pouvais me contrôler

Devant ces crimes impunis
Il nous faut un coupable
Les juges condamne le démuni
Et laisse l’impunis

Car il n’a pas de corps
Ni de remord
Même si tous le connaissent

Le démon mouche
Ce diable farouche
Apporte la détresse

Tous avaient peur de lui
Sauf la reine,
Araignée.
Qui restait seul à le défié !

La reine araignée, mère de la nation
Débordante de compassion
Craignait pour la population

Elle possédait les pouvoirs de l’araignée
Mais aucune de ses toiles ne le piégeaient
Elle senti la mort de ses protégées
Elle décidait
qu’elle ne pouvait laisser
ses êtres aimé
se faire tuer par se démon ailé

Elle décida de donner un rendez–vous au démon mouche
Près de la ville, près d’une souche
S’il ne vient pas C’est qu’il a peur
Alors plus de terreur face au démon épris de frayeur

Le démon mouche
reçu l’invitation
Parti à la souche
Avec précipitation

Je suis le démon mouche
Le plus farouche
Je suis le plus fort
Je n’ai pas de corps
Ni de remords

Je tuerai cette sorcière araignée
Ainsi je pourrai régné sur cette conté
Et plus rien ne pourra m’arrêté
Je pourrai dominer l’humanité

Le démon mouche
arriva à la souche
Et vis la reine araignée
Assis à ses pieds

L’araignée avait posé des pièges
La mouche les vies et frémies
C’était la première fois
Il refoula son angoisse
Devenant emportement
De rage, de sang
Il fila tels un éclair
Dans le vent, sur la reine

Son envi de tuer
De torturer, de gagner
Cette satané araignée.
Il en était omnubilé

Il entra par la bouche
Avant qu’elle est pu dire ouf
Peu à peu il prenait possession
Et amena la déraison
Dans ce corps qui allait être sa maison.

La reine araignée
Laissa entrer le démon mouche
Puis ferma la bouche

Elle senti l’ennemi
Envahir son esprit
Mais elle n’était pas démuni
Elle savais que c’était fini

Elle tissa un cocon
Tout autour de son corps
Et pendant la dernière minute de raison
Dit ces parole
Pas si folle
Alors démon mouche
Démon pas si farouche
Te voici prisonnier
Dans se corps
Et se cocon qui seront ta maison
Pour l’éternité
Ainsi j’ai protégé cette nation
Donc je suis le mentor

Tu ne fera plus de mal
Tu voulu me tuer
Te voici prisonnier
A jamais

Démon qui se croyait le plus fort
Mais qui avait tord
Et qui le compris
Que lorsque se fut fini